L’année dernière pratiquement jour pour jour j’écrivais ["Ça va péter"] où j’évoquais les fortes probabilités d’occurrence d’une crise liée à la combinaison de multiples facteurs: de la mondialisation à la disruption, du surendettement des Etats à l’inégalité de la répartition des richesses, de la montée des risques géo-politiques aux risques écologiques.