Les spectres qui hantaient les marchés financiers ne semblent plus effrayer personne, fi de l’éclatement de l’euro, de la déflation ou du risque de «japanisation». Même le risque de défaut ou de sortie de la zone euro de la Grèce semble susciter une indifférence quasi-générale. Alors, la zone euro serait-elle définitivement sortie de la crise ou sommes-nous en présence d’un excès d’optimisme?