Selon Julien-Pierre Nouen, Economiste de Lazard Frères Gestion, les inquiétudes sur l’impact de la fin Quantitative Easing sur la croissance semblent excessives. Quant aux inquiétudes sur une éventuelle survalorisation des actions, elles lui paraissent exagérées, les multiples de valorisation n’ayant pas atteint des niveaux excessifs ces dernières années.