La quasi-totalité des rendements des actions américaines cette année est due au rebond des valorisations. Ce rebond a de nouveau porté les valorisations au-dessus des moyennes à long terme (17,4 fois le ratio cours/bénéfice) et a fait des États-Unis le marché le plus cher du monde. La hausse des rendements obligataires pèse désormais sur la "valeur actuelle des flux de trésorerie futurs".