Pourtant cette crise a été lente à venir. Les marchés financiers ont d’abord réagi aux élections législatives en Italie comme s’il s’agissait d’un non-évènement. S’il est vrai que l’issue a été décevante, les populistes se situant aux deux extrémités du spectre politique remportant plus de voix que prévu, les répercussions ont néanmoins été minimes.