Quitte à grossir le trait, à l’instar du passage à l’an 2000 et d’autres évènements fortement médiatisés, ce n’est pas la première fois, ni la dernière, que nous sommes confrontés à une dramatisation à outrance d’une échéance qui est certes importante, mais dont il ne convient pas d’exagérer les conséquences, notamment immédiates.