En termes de politique économique, la présidente brésilienne Dilma n’aurait pas pu faire pire au cours des six dernières années. Néanmoins, il aurait mieux valu qu’elle ne soit pas destituée. La probabilité de réformes aurait alors été faible et il y aurait peut-être eu une crise de la dette, mais à plus long terme, ceci aurait été moins dommageable que la destitution.