Je puis comprendre que Jérôme Kerviel ai dissimulé ses pertes grâce à X écritures comptables ou grâce à l’arbitrage Futures vs. Forward.
Mais là où le témoin, Benoît Taillieu a raison, c’est que Kerviel tradait des produits auxquels le service n’avait pas recours. Le domaine de prédilection de D-One sont les certificats, turbo-warrants... Nous l’aurons compris. En soi, des products-to-consumers. En quoi le COO ne s’en aurait pas aperçu ?
Deuxième point, les volumes, qui même sans réel garde-fou, auraient du alarmer les services compétents.
Je peine à croire de toute façon que ses N+1, N+X aient sciemment(...)