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«Les investisseurs ne doivent pas craindre une rupture imminente en Espagne: si les séparatistes de Catalogne ont pris le contrôle du parlement régional, ils n’ont pas obtenu plus de 50% du vote populaire», commente Léon Cornelissen, économiste en chef de Robeco.

29 septembre 2015, par Léon Cornelissen

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