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Une simulation préliminaire de l’impact des nouvelles mesures fiscales ordonnées à la Grèce par ses créanciers, et du marasme induit par la perte de confiance et les contrôles de capitaux, suggère que le produit intérieur brut à prix constants diminuerait de 1,37% cette année et 0,92% l’année suivante.

6 août 2015, par Eric Dor

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