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L’hypothèse d’une hausse soutenue des taux obligataires impose un nouveau défi. Alors que le fameux Bobl, l’emprunt d’état allemand à 5 ans, pourrait ne plus jouer son rôle de couverture du portefeuille, la préservation du capital passe par une gestion obligataire plus dynamique.

28 avril 2014, par Philippe Douillet

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