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L’espèce d’euphorie que les marchés ont connue au 1er trimestre a fait place depuis quelques semaines à plus de discernement. Il était loisible de parier que de fortes injections de liquidités, de la part des Banques Centrales, couplées à des actions historiquement bon marché et un pessimisme à son comble à l’automne dernier, allaient favoriser des comportements moins frileux…

6 avril 2012, par Xavier Gandrille

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