Le groupe bancaire privé franco-belge Dexia, confronté à une crise de liquidités, a fait l'objet d'interventions publiques à partir d'octobre 2008. La Cour des comptes, compétente à compter de cette date pour contrôler sa filiale française, a décidé d'examiner les conditions de création et de développement de cette banque, l'impact sur les finances publiques de son échec et les responsabilités en cause.
Il prévoit une interdiction de stock-options ou d'actions gratuites, un arrêt des versements de bonus, d'indemnités de départ et de dividendes pendant toute la durée du soutien public.
C'est par ces motifs ubuesques que Claude Bartolone, président du Conseil général de Seine-Saint-Denis envisage d'engager une action en justice contre Dexia...