Le Nordea 1 - Global Social Bond Fund est un fonds classé «article 9» selon la réglementation SFDR, qui investit dans des obligations sociales répondant à des objectifs de durabilité. A travers la sélection des titres et émetteurs éligibles, la stratégie du fonds adhère aux principes de bonne gouvernance avec pour mandat de "ne pas nuire de manière significative". Le fonds est géré par Thede Rüst et Anton Nykvist, la même équipe en charge du fonds Nordea 1 - Global Green Bond. Ils s’appuieront sur les connaissances et l’expertise de l’équipe d’investissement responsable de NAM, composée de 27 personnes.
Le fonds investit dans des obligations sociales labellisées et dans des titres de créance émis par des entreprises qui contribuent positivement aux objectifs sociaux et environnementaux, afin de créer un impact bénéfique et de générer une valeur durable pour les investisseurs.
Il s’agit de la cinquième solution mise sur le marché par NAM pour répondre à la problématique Sociale de l’ESG, aux côtés du Nordea 1 - Global Green Bond Fund, Nordea 1 - Global Social Empowerment Fund, Nordea 1 - Global Climate and Social Impact Fund et Nordea 1 - Global Gender Diversity Fund.
«Nous sommes très heureux du lancement du Nordea 1 - Global Social Bond Fund, car les marchés de la dette jouent un rôle crucial dans le financement des projets indispensables à un avenir durable et plus équitable. La solution se concentre sur la dimension "S" de l’ESG, un domaine d’intérêt de plus en plus important pour les investisseurs. Nous ne pouvons pas parvenir à un monde durable sans nous attaquer aux problèmes sociaux urgents auxquels la société est confrontée aujourd’hui.» indique Thede Rüst, gérant du fonds Nordea 1 - Global Social Bond. «La majorité des actifs de ce fonds sont investis dans des titres de créance émis par des agences gouvernementales et supranationales. L’équipe investit également dans des titres de créance émis par des institutions financières et des entreprises. Le fonds offre une alternative intéressante à tous ceux qui cherchent à accroître l’impact social de leurs portefeuille obligataire.»