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Les encours du Henderson Gartmore Continental European Fund passent la barre des 2 milliards d'Euros

Lancé le 24 mars 2005 et géré par John Bennett depuis le 1er février 2010, le Henderson Gartmore Continental European Fund vient de dépasser la barre des 2 milliards d’euros d’encours sous gestion, et ce, principalement grâce aux apports d’investisseurs européens et d’Amérique Latine.

Malgré les mouvements de «risk-on - risk-off» du marché, ce fonds d’actions européennes de style core/value a enregistré une bonne performance de 4.94%* depuis le début de l’année. Le fonds est classé dans le premier quartile de son «peer groupe» sur trois et cinq ans (deuxième quartile sur un an)[1].

«Le marché actions européennes sur lequel nous opérons a tendance aujourd’hui à se focaliser sur le court-terme mais il est essentiel de prendre du recul et de se projeter sur le long-terme», explique John Bennett. D’ailleurs, la performance du fonds à long-terme a été influencée par une exposition au secteur industriel. Un thème sectoriel qui présente deux avantages: sa tendance à se propager au niveau mondial, normalement d’ouest en est, et sa pérennité dans le temps. «Les entreprises du secteur pharmaceutique, par exemple, sont l’un de nos principaux thèmes depuis maintenant quatre ans et elles restent l’un des secteurs que nous continuons de privilégier. Le secteur a déjà bien progressé depuis les bénéfices à un chiffre qu’il enregistrait il y a encore quelques années mais nous sommes convaincus que sa véritable renaissance reste à venir», ajoute John Bennett.

L’Europe dispose d’un essaim d’entreprises solides et variées qui permet au gérant du fonds de continuer à trouver de bonnes idées d’investissement correspondant aux thèmes de son portefeuille. Les actions européennes ne sont peut-être plus bon marché, en valeur absolue, mais la région reste l’une des plus attractives pour les investisseurs.

«Il est fort possible que les bénéfices effectuent un retour positif à la moyenne car les bénéfices européens sont encore bien inférieurs à leur plus haut niveau et le dernier pic enregistré remonte à 2007. Les actions européennes sont meilleur marché que les actions américaines et le potentiel de retour à la moyenne de leurs bénéfices est supérieur», conclut John Bennett.

Next Finance Juin 2014
Notes

[1] Source: Morningstar, nette de frais, au 30 avril 2014 pour la part Retail en euro.

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