This page contains the following errors:

error on line 163 at column 54: Entity 'eacute' not defined error on line 164 at column 29: Entity 'ndash' not defined error on line 429 at column 15853: Premature end of data in tag div line 87

Below is a rendering of the page up to the first error.

News - Les PRI appellent les détenteurs d'obligations souveraines à s'engager davantage sur les enjeux ESG
IMG
Les PRI appellent les détenteurs d'obligations souveraines à s'engager davantage sur les enjeux ESG

Les Principes pour l’Investissement Responsable (PRI), soutenus par les Nations Unies, publient un nouveau rapport, intitulé «Les engagements ESG pour les investisseurs en dettes souveraines» («ESG Engagement for Sovereign Debt Investors»), dans lequel les PRI appellent les détenteurs d’obligations souveraines à prendre davantage la parole sur les enjeux ESG.

A l’occasion de la publication d’un nouveau rapport, les PRI observent que les discussions entre les Etats et les détenteurs d’obligations souveraines sur les questions environnementales, sociaux et de gouvernance (ESG) demeurent encore trop limitées. L’organisation internationale appellent donc les détenteurs d’obligations souveraines à dialoguer davantage avec les Etats pour favoriser une plus grande prise en compte des enjeux ESG.

Les Principes pour l’Investissement Responsable (PRI), soutenus par les Nations Unies, publient aujourd’hui un nouveau rapport, intitulé «Les engagements ESG pour les investisseurs en dettes souveraines» («ESG Engagement for Sovereign Debt Investors»), dans lequel les PRI appellent les détenteurs d’obligations souveraines à prendre davantage la parole sur les enjeux ESG.

«L’engagement sur les questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) est une pratique encore trop sous-utilisée par les détenteurs d’obligations souveraines et il est temps que cela change», souligne Carmen Nuzzo, responsable de l’obligataire au sein des PRI, dans un article accessible sur le site des PRI. «En tant que financeur de la dette souveraine, les détenteurs d’obligations peuvent jouer un rôle important dans la conduite du changement et l’orientation des résultats ESG par le biais de leurs décisions d’investissement, comme nous le soulignons dans ce rapport.»

L’engagement fait partie intégrante de l’investissement responsable dans toutes les classes d’actifs, et les détenteurs d’obligations souveraines ne devraient pas faire exception. Cependant, les discussions spécifiques sur les enjeux ESG entre les Etats et les investisseurs en obligations souveraines demeurent encore limités, tout comme le suivi de la manière dont les Etats s’acquittent de leurs obligations et de leurs engagements en matière de développement durable.

Or, les investisseurs peuvent profiter de leurs rencontres et de leurs réunions avec les responsables politiques et publics pour leur indiquer qu’elles sont les informations ESG qu’ils jugent importantes pour leur analyse et leurs décisions d’investissement, pour encourager une plus grande transparence et une meilleure diffusion des données ESG et, ainsi, transmettre leurs attentes sur ces enjeux ESG.

De plus, les investisseurs peuvent utiliser leur engagement plus efficacement, pour aller au-delà des simples considérations rendement/risque. En tant que garant de l’argent des épargnants, les détenteurs d’obligations souveraines responsables ont l’obligation fiduciaire non seulement de générer des rendements pour leurs bénéficiaires mais aussi de promouvoir et de favoriser l’atteinte d’objectifs économiques, sociétaux et environnementaux.

A cette fin, le rapport des PRI met en exergue les pratiques de marché actuelles et les différences qui existent en matière d’engagement entre les détenteurs d’obligations d’entreprises d’une part et, de l’autre, les détenteurs d’obligations souveraines. En outre, le rapport montre comment des opportunités peuvent être exploitées pour favoriser le dialogue autour des sujets ESG, qui peut être mutuellement bénéfique pour les Etats et les investisseurs. Le rapport s’attarde enfin sur un certain nombre d’idées fausses qui agissent comme autant d’obstacles à l’engagement des investisseurs obligataires et donne des pistes pour les surmonter.

Dans ce rapport, les PRI estiment que cadrer l’engagement des investisseurs obligataires autour de la divulgation d’informations clés sur les enjeux ESG et atteindre les engagements des politiques existantes, tels que les Objectifs de Développement Durable ou encore l’Accord de Paris, constitue un point de départ naturel pour faciliter le dialogue avec les émetteurs. Par ailleurs, bien que les risques ESG soient plus faciles à identifier sur les marchés émergents (comme le montrent plusieurs exemples mentionnés dans le rapport), le fait que de nombreux marchés développés d’obligations souveraines soient plus liquides ou présentent une meilleure qualité de crédit ne devrait pas empêcher les investisseurs d’adopter et de développer un «état d’esprit d’engagement» et, ainsi, d’interagir avec les Etats sur les enjeux ESG.

«La crise de la Covid-19 a accru les besoins de financement public des pays, offrant aux investisseurs institutionnels, en tant que bailleurs de fonds, une opportunité unique de collaborer avec les Etats pour mettre en œuvre des plans de relance économique durables», commente Carmen Nuzzo. «L’engagement des pays sur les enjeux ESG aidera non seulement à conduire le changement et contribuera à une reprise plus durable, mais aussi à faire avancer les accords et les engagements existants, tels que l’Accord de Paris et les Objectifs de Développement Durable (ODD).»

Ce nouveau rapport constitue donc une étape importante. Il devrait encourager les investisseurs à avoir des échanges plus explicites avec les Etats afin que les engagements des pays en matière de développement durable ne restent pas de simples déclarations d’intention. En outre, ce rapport devrait contribuer à mieux refléter les progrès (ou l’absence de progrès) des pays dans la valorisation des obligations.

Il est utile pour les Etats de mieux comprendre l’appétit croissant des investisseurs pour les enjeux ESG. Enfin, ce rapport devrait favoriser les discussions entre les investisseurs, les émetteurs souverains et les autres parties prenantes afin de faciliter le financement de modèles de croissance plus durables.

Next Finance Novembre 2020

Voir en ligne : ESG ENGAGEMENT FOR SOVEREIGN DEBT INVESTORS

Tags


Partager


Commentaire

ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउ ഠऊउउ†਍उउഉऊउउ਍उउഉऊउउ㰉楤⁶汣獡㵳朢潲灵㸢慄獮氠⁡♭㈣㐳活⁥畲牢煩敵⼼楤㹶†††਍उउउ搼癩挠慬獳∽敭畮愠瑲捩敬≳ा††††††਍उउउ㰉楤⁶汣獡㵳渢睥䱕㸢††††ഠऊउउउ †ഠऊउउउउ搼癩挠慬獳∽敮䱷≉ാऊउउउउ㰉ㅨ挠慬獳∽湥牴⵹楴汴⁥楴牴≥ാऊउउउउउ愼栠敲㵦䄢畭摮⵩敳瘭楯⵴潣普敩⵲湵洭湡慤≴†敲㵬戢潯浫牡≫栠敲汦湡㵧昢≲ാऊउउउउउ㰉灳湡挠慬獳∽牧畯数㸢敎獷⼼灳湡ാऊउउउउउ䄉畭摮⁩敳瘠楯⁴潣普敩⁲湵洠湡慤⁴湩楤楣汥搠⁥〲洠汩楬牡獤搠⁥楬牶獥猠整汲湩⁧慰⁲桔⁥敐灯敬猧倠湥楳湯਍उउउउउ㰉愯ാऊउउउउ㰉栯㸱਍उउउउ㰉搯癩‾†††††ഠऊउउउ †ഠऊउउउउ搼癩挠慬獳∽敮䱷≉ാऊउउउउ㰉ㅨ挠慬獳∽湥牴⵹楴汴⁥楴牴≥ാऊउउउउउ愼栠敲㵦圢獩潤呭敲ⵥ湥楲档瑩猭ⵡ慧浭≥†敲㵬戢潯浫牡≫栠敲汦湡㵧昢≲ാऊउउउउउ㰉灳湡挠慬獳∽牧畯数㸢敎獷⼼灳湡ാऊउउउउउ圉獩潤呭敲⁥湥楲档瑩猠⁡慧浭⁥畑污瑩⁹片睯桴愠敶⁣❬橡畯⁴❤湵䔠䙔朠潬慢൬ऊउउउउउ⼼㹡਍उउउउउ⼼ㅨാऊउउउउ⼼楤㹶††††††਍उउउउ††਍उउउउ㰉楤⁶汣獡㵳渢睥䥌㸢਍उउउउउ格‱汣獡㵳攢瑮祲琭瑩敬琠瑩敲㸢਍उउउउउ㰉⁡牨晥∽慌䌭楡獳ⵥ敤⵳敄潰獴氭湡散愭敶Ᵽ㔲㔴∷†敲㵬戢潯浫牡≫栠敲汦湡㵧昢≲ാऊउउउउउ㰉灳湡挠慬獳∽牧畯数㸢敎獷⼼灳湡ാऊउउउउउ䰉⁡慃獩敳搠獥䐠⌦㌲㬳♰㈣㐴琻⁳慬据⁥癡捥猠捵♣㈣㈳猻甠敮漠汢杩瑡潩❤‱摍⌦㌸㐶※癡捥甠敮洠瑡牵瑩⌦㌲㬳搠⁥〱愠獮਍उउउउउ㰉愯ാऊउउउउ㰉栯㸱਍उउउउ㰉搯癩‾†††††ഠऊउउउ †††††਍उउउ㰉搯癩ാऊउउ㰉搯癩‾††਍उउഉऊउउഉऊउ㰉搯癩㰾ⴡ⌭潣瑮湥略⵲㸭਍उउ਍उഉऊउഉऊउ㰉楤⁶摩∽潦瑯牥㸢਍उउ㰉牢㸯਍उउഉऊउउ਍उउഉऊउउ†愼栠敲㵦栢瑴獰⼺洯扯汩⹥敮瑸昭湩湡散渮瑥猯楰⹰桰㽰慰敧挽湯敮楸湯愦灭氻湡㵧牦愦灭画汲䰽獥倭䥒愭灰汥敬瑮氭獥搭瑥湥整牵⵳╤䘳慬杮㌥晄≲爠汥∽潮潦汬睯㸢敓挠湯敮瑣牥⼼㹡ഠऊउउ਍उउ簉㰠⁡牨晥慬杮∽牦•敲㵬戢潯浫牡≫栠敲㵦栢瑴獰⼺洯扯汩⹥敮瑸昭湩湡散渮瑥猯楰⹰桰㽰慰敧挽湯慴瑣愦灭氻湡㵧牦㸢潃瑮捡獴⼼㹡਍उउഉऊउउ⁼愼栠敲汦湡㵧昢≲爠汥∽潣瑮湥獴•牨晥∽瑨灴㩳⼯潭楢敬渮硥⵴楦慮据⹥敮⽴灳灩瀮灨瀿条㵥汰湡愦灭氻湡㵧牦㸢汐湡⼼㹡਍उउഉऊउउ⁼愼爠汥∽潣祰楲桧≴栠敲㵦䌢敲楤獴㸢牃⌦㌲㬳楤獴⼼㹡਍उउഉऊउउ⁼愼爠汥∽污整湲瑡≥栠敲汦湡㵧昢≲栠敲㵦栢瑴獰⼺眯睷渮硥⵴楦慮据⹥敮⽴敌⵳剐ⵉ灡数汬湥⵴敬⵳敤整瑮略獲搭㸢敖獲潩敗㱢愯ാऊउ㰉搯癩ാऊउഉऊउ⼼楤㹶ℼⴭ瀣条ⵥ㸭਍उ⼼潢祤ാऊ⼼瑨汭ാഊ