This page contains the following errors:

error on line 125 at column 14: Opening and ending tag mismatch: li line 124 and blockquote

Below is a rendering of the page up to the first error.

Note - Le comité international des banques centrales publie un rapport sur les marchés obligataires
IMG
Le comité international des banques centrales publie un rapport sur les marchés obligataires

Le rapport du CGFS intitulé «la liquidité du marché obligataire» fait état d’une plus grande fragilité du marché, avec des conditions de liquidité plus sensibles aux perturbations, comme des arrêts brusques de la liquidité dans des segments clés du marché et une détérioration des indicateurs de la profondeur du marché.

Article aussi disponible en : English EN | français FR

Le comité international des banques centrales (“The Committee on the Global Financial System – CGFS”) et le Market Committee ont publié deux rapports sur la structure et la liquidité des marchés obligataires.

Le rapport du CGFS intitulé «la liquidité du marché obligataire» fait état d’une plus grande fragilité du marché, avec des conditions de liquidité plus sensibles aux perturbations, comme des arrêts brusques de la liquidité dans des segments clés du marché et une détérioration des indicateurs de la profondeur du marché.

«Les marchés obligataires sont en phase de transition», a déclaré le président William Dudley, président du CGFS et Gouverneur de la Réserve Fédérale de New York. Il a ajouté: «Jusqu’à présent, les effets liés à la réglementation, la technologie et aux changements de structure du marché ne semblent pas avoir eu d’effets importants et persistants sur le prix de la liquidité pour les principales classes d’actifs, mais ils se sont en revanche traduits par des conditions de liquidité de plus en plus fragiles».

Le rapport identifie comme principaux moteurs du changement:

  • le développement du trading algorithmique sur les marchés obligataires, ce qui peut accélérer la vitesse avec laquelle la liquidité, apparemment abondante, peut disparaitre après les premiers signes de stress de marché;
  • La moindre exposition des banques en réponse à une plus faible prise de risque dans le sillage de la crise financière et d’exigences réglementaires plus strictes;