Le mois de juin a été marqué par deux journées noires pendant lesquelles le blé a perdu plus de 15 €/t. Le 22 juin, l’annonce d’achat par la Tunisie de blé russe, beaucoup plus compétitif que le blé français et américain, créait un premier séisme sur les marchés financiers.
Une semaine plus tard, l’annonce sur les stocks américains et les surfaces d’emblavements supérieurs aux attentes frappait comme une réplique les marchés agricoles.
Dans ce contexte d’incertitudes, la volatilité implicite du blé progresse encore à 40.4% alors que les récoltes commencent en France et dans une partie de l’Europe.