La panique financière liée à la crise de la COVID-19, et la mise à l'arrêt de l'économie mondiale, ont été maîtrisées par des plans budgétaires, ainsi que par l'action des banques centrales sur le plan monétaire. Après avoir vu le dollar s'apprécier fortement au cœur de la crise, porté par les craintes d'un « shortage » de dollar
Quand on parlera dans cet article de monnaies alternatives, on fera référence aux monnaies non manipulées par une autorité politique et/ou monétaire. Les monnaies fiduciaires (basées donc sur la « confiance ») sont, quant à elles, émises par les banques centrales (dollar, euro, yen, sterling,..), ont cours légal sur un territoire et sont, tant que cette confiance est là justement, unanimement acceptées en tant que moyen d'échange, de facturation et de réserve...
L'or est le grand vainqueur de cette année qui a vu les parts de marché subir de plein fouet l'impact de la COVID-19 et le taux d'intérêt d'épargne atteindre le point zéro dans bon nombre de banques. La valeur du métal précieux a augmenté d'environ 30 % en 2020. Cette semaine, le seuil magique de 2 000 dollars américains (USD) a été atteint.
Depuis des années déjà, la Chine met tout en œuvre pour rivaliser avec les États-Unis en tant que première puissance économique mondiale. La puissance chinoise s'accroît également dans les domaines de la politique internationale et de la technologie. En revanche, dans le monde des devises, le renminbi est considéré comme un personnage de second rôle.
Une nouvelle recherche menée au sein de la « City, University of London » a révélé que les tweets de Donald Trump en rapport avec le Mexique ont une influence sur la volatilité du marché des devises.