Malik Haddouk, directeur de la gestion diversifiée chez CPR Asset Management, a recours aux ETF sur le marché des actions, des obligations mais aussi celui du crédit et des matières premières.
Le nombre de robo-advisors offrant aux utilisateurs de construire et gérer leurs portefeuilles, se sont multipliés ces dernières années. Il faut dire qu'ils proposent leurs services pour des tarifs extrêmement bas. Pour ce faire, ils ont généralement à des ETF afin de limiter les frais de gestion.
BlackRock vient de lancer un fonds indiciel coté (ETF) obligataire global qui permet aux investisseurs d'accéder à l'un des indices obligataires les plus suivis, l'indice Bloomberg Barclays Global Aggregate. La gamme obligataire d'iShares compte aujourd'hui 84 ETF.
Bien que la croissance économique annuelle de la Chine soit loin d'atteindre les taux de croissance atteints il y a dix ans, elle reste trois fois supérieure à ceux des grands pays industrialisés occidentaux. En général, une croissance économique forte permet de soutenir les marchés boursiers. Les ETF peuvent être un bon moyen de capter cette performance.
Invesco PowerShares publie une nouvelle étude intitulée « Stratégies smart beta : un atout pour construire son portefeuille ? », qui examine les raisons de l'adoption du smart beta, les problèmes de mise en œuvre rencontrés par les utilisateurs actuels et leurs attentes pour les allocations futures.