Cointribune, média spécialisé dans les crypto-monnaies, a commandé à l'Ifop une enquête sur les ressorts de l'engouement pour ces actifs numériques qui permet de dresser pour la première fois le portrait-robot des détenteurs de cryptos.
Les formes de monnaie tendent à changer : les moyens de paiement électroniques sont de plus en plus utilisés, au détriment des paiements en espèces. Certains pays se dirigent ainsi vers des sociétés sans « cash ». Par ailleurs, il est de plus en probable que des monnaies « digitales », émises par les banques centrales, voient le jour sur les années à venir.
Quand on parlera dans cet article de monnaies alternatives, on fera référence aux monnaies non manipulées par une autorité politique et/ou monétaire. Les monnaies fiduciaires (basées donc sur la « confiance ») sont, quant à elles, émises par les banques centrales (dollar, euro, yen, sterling,..), ont cours légal sur un territoire et sont, tant que cette confiance est là justement, unanimement acceptées en tant que moyen d'échange, de facturation et de réserve...
Votée en lecture définitive le 11 avril dernier par le Parlement français, la “loi Pacte” — permettant la transmission d'actifs non cotés sur une blockchain — est la première en son genre à être adoptée en Europe et pourrait potentiellement remporter l'adhésion de l'Union Européenne d'ici 2020.