Alors qu'on vient de les débusquer avec nos chères têtes blondes au fond du jardin (mais à hauteur des yeux bien entendu), dans quel panier fallait-il mieux placer ses œufs au cours de ce premier trimestre juste écoulé.
Tirons un bilan des 3 premiers mois de l'année pour voir quels ont été les best et worst perfomers.
Nous maintenons notre surpondération des actions mondiales et notre sous-pondération des obligations d'Etat. Les risques de récession aux Etats-Unis nous paraissent largement surestimés. La consommation, principal moteur de l'économie, reste vigoureuse grâce à la baisse des cours de l'énergie et aux hausses des salaires.
• Bunds, T-notes, OAT • CDS, Agences de Notation • Convertibles, Reverses, Structurés • High-yield • FCT / FCC / Fonds de dette leveragés • Titrisation • Dette émergente (local/hard currency) • Distressed Debt • CLNs
La semaine passée, la BCE a procédé à un nouvel abaissement de ses taux. Pendant quelque temps, les observateurs de marché ont débattu de façon animée sur la question de savoir si une poursuite de l'abaissement des taux – même en territoire négatif – aurait un impact significatif. Une grande partie des obligations d'État européennes se négocient actuellement à des taux négatifs, ce qui inquiète de nombreux investisseurs.
En février, les marchés se sont montrés extrêmement volatils, dans le sillage de la forte variation des prix des matières premières et des craintes des investisseurs sur la croissance américaine. Le marché du crédit a été particulièrement chahuté pendant la première moitié du mois, avec un écartement généralisé des spreads.