Contrairement aux crises financières passées, on considère que les banques n'ont pas causé celle de 2020. Au contraire, les décideurs ont rapidement apporté un soutien massif aux banques pour qu'elles contribuent à résoudre la situation.
Face aux incertitudes, le réflexe est souvent d'aller chercher des pistes de
réponses sur ce que nous renvoient les anticipations des marchés financiers,
en particulier les actifs les plus longs, moins soumis à l'interventionnisme
monétaire et réputés plus efficients. Or, il se passe des choses sur ces derniers.
La crise sanitaire a démontré que la structure du mandat de gestion, délégué par l'investisseur au gestionnaire d'actifs, affiche une meilleure robustesse qu'un véhicule de type OPC face aux chocs de volatilité...
Ce nouvel indicateur de risque basé sur un concept dérivé du ratio de Sharpe classique peut désormais intégrer la panoplie déjà existante de mesures de risque utilisées lors de la détermination de l'allocation stratégique des actifs.
L'Afer estime en effet qu'en l'état le projet d'arrêté sur l'intégration
de la provision pour participation aux bénéfices (PPB) aux fonds propres des assureurs soulève plusieurs interrogations.