Une nouvelle étude de l'institut EDHEC-Risk relative aux stratégies d'investissement passives et aux ETF montre qu'il est possible de concilier la performance du Smart bêta tout en contrôlant le niveau de risque...
L'équipe de recherche multi-actifs de Société Générale identifie deux types d'investisseurs value : les « patients », qui cherchent à profiter des rendements sur dividendes supérieurs à la moyenne offerts par les sociétés de qualité, et les « courageux », qui tablent sur une hausse des cours des actions de sociétés actuellement sous-évaluées par le marché.
Le débat sur l'intérêt de conserver des fonds de gestion active dans le cadre d'une construction de portefeuille semble réglé. Outre les multiples études académiques tendant à prouver l'absence d'alpha de la gestion active prise globalement après déduction des frais de gestion, les investisseurs Retail et Institutionnels dirigent désormais une part croissante de leurs actifs vers des gestions indicielles de type ETF.
Pour pouvoir s'adapter à un marché obligataire en mouvement constant, les équipes de gestion de taux de CPR AM ont mis en place une nouvelle stratégie d'investissement sur l'obligataire souverain de la zone euro avec CPR EuroGov + MT. Cette nouvelle solution s'affranchit des indices traditionnels obligataires dans le but d'offrir à l'investisseur un rendement supérieur à celui de l'indice JP Morgan EMU.
Selon AXA-IM, les exigences ESG peuvent non seulement être compatibles avec l'investissement Smart Beta, mais la combinaison des deux approches pourrait également améliorer les rendements ajustés du risque, comme démontré dans leur publication ESG Insight « A responsible investment approach to smart beta equity investing ».