Depuis le début de l'année 2020, les quatre styles actions (ou « facteurs ») ont généré des performances très diverses. Le momentum et la faible volatilité ont généré des performances positives par rapport au marché, tandis que les petites capitalisations et les valeurs à dividendes élevés (value) ont sous-performé.
Beaucoup de questions se posent sur les effets de la crise liée au coronavirus sur l'investissement durable et les critères ESG. L'investissement durable va-t-il monter en puissance ? Ou, au contraire, céder du terrain ? Les fonds durables s'en sortent-ils mieux que les stratégies classiques ? Le coronavirus deviendra-t-il un sujet additionnel pour la recherche en durabilité ?
Les semaines à venir vont être difficiles sur le plan économique, les marchés
vont souffrir et de nombreux intervenants de marché se ruer sur le cash et les
retraits. Mais l'équipe Crédit de Robeco estime que grâce aux mesures de
relance, les marchés essaieront de regarder vers l'avant et au-delà de la phase de stabilisation des infections au coronavirus.
Pour comprendre ce qui nous a conduits à cette situation, nous devons examiner la tendance à long terme de ces dernières décennies (la tendance séculaire). Plusieurs déséquilibres majeurs se sont développés dans l'économie mondiale au cours des 20-30 dernières années.
L'objectif d'investissement de la stratégie est de réaliser une croissance du capital à long terme en investissant dans des sociétés cotées en bourse qui répondent aux opportunités créées par le changement de paradigme des modèles de production et de consommation traditionnels vers une économie circulaire.