D'après l'étude BofA Merrill Lynch du mois de décembre, les investisseurs mondiaux gardent toujours foi en les actions, même s'ils revoient à la hausse leur poste de liquidité, à mesure que les marchés entrent dans une période de fin d'année volatile.
S'exposer aux matières premières par le biais d'indices attire bien des investisseurs. Mais comment le faire de manière plus efficiente et en optimisant la gestion du risque ? Cette rubrique poursuit son exploration des alternatives émergentes en matière de gestion indicielle.
Du temps de l'économie agricole, l'activité économique malthusienne était caractérisée par une croissance mondiale par habitant quasi nulle, et pour caricaturer, la Foi faisait office d'énergie, on priait pour qu'il fasse beau, qu'il pleuve et l'on allait jusqu'à marchander les indulgences ; c'était
l'économie du Salut.
Cette année, les prévisions vont de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne après une victoire du parti indépendantiste UKIP aux élections législatives à l'éruption du volcan islandais Bardabunga, qui pourrait avoir des conséquences majeures sur les récoltes agricoles. La BCE se retrouve également au cœur des prévisions de ce millésime avec la prévision choc que Mario Draghi rentre en Italie pour prendre la tête du pays, laissant ainsi sa place à Jens Weidmann.
Experte en gestion systématique, Ossiam a créé, en 2013, un ETF offrant aux investisseurs une exposition sur un indice matières premières « amélioré » et pondéré par le risque, à partir des constituants de l'indice S&P Goldman Sachs Commodity Index, à l'exception des céréales.