La crise de la dette en Grèce, la frénésie sur le marché boursier chinois, un arrêt de trois heures pour raisons techniques du New York Stock Exchange (NYSE) et un relèvement imminent des taux de la Fed contribuent largement à l'agitation qui règne cet été sur les marchés mondiaux.
Le portefeuille de référence reste fixé à 80 % sur les actifs de croissance et à 20% sur les obligations ; 5% de l'allocation étant dédiée aux actions néo-zélandaises.
Quelques jours après les signes concrets de résolution de la dette grecque qui ont fait retomber la tension, l'attention des investisseurs se tourne maintenant vers la Chine, où la déroute actuelle des marchés boursiers « onshore » soulève des questions sur la deuxième plus grande économie du monde...
Selon Mark Burgess, Chief Investment Officer EMOA et Responsable des Marchés Actions de Columbia Threadneedle Investments, s'agissant de la Grèce, un accord est probablement préférable à une absence d'accord à court terme, dans la mesure où il permet d'éliminer le risque immédiat d'une sortie du pays de la zone euro (« Grexit »).
« Un milliard ici, un milliard par-là, et bientôt vous parlez d'argent réel. » Utilisé pendant des décennies pour décrire la perception du niveau croissant de dépenses élevées d'un gouvernement, cette phrase connue, d'origine obscure peut également servir à ceux qui construisent aujourd'hui des portefeuilles d'investissement...