L'année dernière pratiquement jour pour jour j'écrivais "Ça va péter" où j'évoquais les fortes probabilités d'occurrence d'une crise liée à la combinaison de multiples facteurs : de la mondialisation à la disruption, du surendettement des Etats à l'inégalité de la répartition des richesses, de la montée des risques géo-politiques aux risques écologiques.
Selon Alastair Irvine, Product Specialist chez Jupiter AM, du point de vue de l'investissement, il y a à l'heure actuelle bien trop d'inconnues pour avoir un avis tranché à propos du Brexit. Les sondages sont peu fiables et n'apportent aucune aide. Le résultat n'est pas couru d'avance et peu de choses sont dites sur ce qui se passera si le « quitter » l'emporte.
Au début de l'année, la volatilité des marchés a de nouveau augmenté en raison des craintes grandissantes relatives à la faiblesse de la croissance chinoise, aux tensions géopolitiques et à un nouveau repli des prix pétroliers. Bien qu'une grande partie des mauvaises nouvelles soient déjà intégrées dans les cours, nous préférons conserver un positionnement prudent.
State Street Global Exchange publie aujourd'hui les résultats de l'indice de confiance des investisseurs « State Street Investor Confidence Index® » (ICI) pour le mois de février 2016.
Quatre experts de l'investissement de Natixis Global Asset Management partagent
leurs opinions sur l'importance de la faiblesse des cours pétroliers pour les
investisseurs en actions et en obligations, l'offre et la demande, et les opportunités
créées par la récente correction sur le marché.