L'objectif de distanciation sociale destiné à ralentir la propagation du coronavirus par rapport aux capacités hospitalières d'urgence se traduit par l'activation d'une mise en quarantaine au sein des principaux pays européens et des Etats-Unis. Ces derniers développements ont provoqué une modification des perspectives de l'économie...
Moins 30 % sur les bourses mondiales et ce ne serait pas un problème mais la vie normale des marchés et du risque qui leur est assorti. Pas de raison de s'inquiéter, donc, mais plutôt le temps de commencer à se positionner pour la hausse future des actions, laquelle, on nous garantit, sera spectaculaire avec des valorisations au plus bas depuis 2008. Il y a au moins trois raisons pour lesquelles nous pensons que cette stratégie n'est pas appropriée à la situation présente.
Dans le contexte actuel, Sébastien Galy, Stratégiste Macro Senior chez Nordea Asset Management, continue de favoriser les obligations sécurisées, les obligations d'État américaines de longue échéance, l'investissement en infrastructures et en immobilier coté ainsi que les solutions d'investissement flexibles...
Au regard de tous les bouleversements survenus sur les marchés financiers ces deux dernières semaines, il serait facile de négliger un facteur qui pourrait pourtant influencer de manière significative les flux d'investissement sur le segment des obligations corporate au niveau international...
Selon DBRS Morningstar, l'épidémie de coronavirus associée à une baisse importante du prix du pétrole crée une perte de confiance des investisseurs et des perturbations importantes sur les marchés financiers. La situation évolue rapidement et si le plein impact sur les banques européennes reste incertain, il sera clairement négatif...