Selon Ariel Bezalel, gérant du fonds Jupiter Dynamic Bond chez Jupiter Asset Management, le programme d'assouplissement quantitatif de 1 100 milliards d'euros de la Banque Centrale Européenne n'est pas la panacée...
Le fameux QE ou assouplissement quantitatif de la Banque Centrale Européenne (BCE) vient d'être dévoilé par son président, Mario Draghi. Cette nouvelle n'est pas une surprise, Mario Draghi ayant lui-même annoncé ce probable recours face à un risque déflationniste grandissant.
Dans notre dernière note de l'année 2014, nous confirmions la montée en puissance des incertitudes : « appréhender avec exactitude l'évolution des marchés financiers devient de plus en plus difficile ». La décision la semaine passée de la BNS semble abonder dans ce sens.
Un QE n'est certainement pas ce qu'on peut souhaiter de mieux à la zone euro mais, quitte à le faire, autant bien le faire. On peut distinguer trois conditions de réussite : la crédibilité vis-à-vis du marché, le calibrage et la mutualisation des risques.
Selon Dominic Rossi, Global Chief Investment Officer - Actions chez Fidelity, si la volatilité est susceptible d'avoir atteint son point le plus bas durant ce cycle, l'orientation des actions américaines va néanmoins rester haussière et, selon moi, leur appréciation est appelée à se poursuivre jusqu'à l'élection présidentielle de 2016...