Aux vues du résultat des élections au Royaume-Uni, le soulagement des investisseurs s'est directement traduit par une hausse du marché boursier britannique. Cependant une fois l'euphorie retombée, tout le travail reste à faire pour convaincre les britanniques de rester dans l'Union Européenne.
Dans cette note, Guillaume Monarcha, Responsable de la Recherchechez Orion Financial Partners, propose une réflexion sur le récent ralentissement du cycle américain articulée autour des cycles de la production et de la consommation.
Selon Ecofi Investissements, la croissance américaine est ressortie très en-deçà des attentes au premier trimestre, pénalisée par les
rudesses du climat et le dollar fort. Cette pause devrait être compensée par le rebond de l'activité au sein de
la zone Euro. La croissance mondiale devrait poursuivre son rebond.
Il y avait longtemps que le calendrier économique n'avait pas été aussi chargé mais, paradoxalement, il y a assez peu de chances qu'on assiste à de forts mouvements sur le CAC 40. La réunion du FOMC devrait constituer un non-évènement pour les investisseurs...
Selon Jim Cielinski, responsable marchés obligataires chez Columbia Threadneedle Investments, les marchés obligataires sont entrés dans une ère de taux d'intérêt négatifs, bouleversant l'idée reçue selon laquelle zéro constitue l'ultime plancher pour les rendements.