La conférence a exploré le paysage mondial des droits de l'homme d'aujourd'hui, où une triade de défis – conflits politiques, changement climatique et avancées technologiques – se profile à l'horizon...
Il semble désormais très probable que l'utilisation des combustibles fossiles et les émissions atteindront leur maximum au cours de cette décennie - bien trop tard, mais un point de basculement qui changera le ton de la conversation et enverra un message clair aux investisseurs sur la nécessité de repenser l'allocation de leurs capitaux vers des actifs en transition.
Avec la prise de conscience mondiale de la crise climatique et l'évolution croissante vers des pratiques durables, les entreprises du secteur des énergies renouvelables sont à l'avant-garde de cette transformation. Alors que les gouvernements du monde entier continuent de mettre en œuvre des
politiques visant à réduire les émissions de carbone, la demande d'énergie propre augmente.
La réduction de la dépendance aux énergies fossiles et le développement des énergies renouvelables sont au cœur de la feuille de route énergétique et climatique du Gouvernement. Et nous ne pouvons que nous en réjouir.
Le marché d'obligations indexées sur des indicateurs de développement durable (« Sustainability-Linked Bonds » - SLB) qui représente plus de 250 milliards de dollars (soit environ 243 milliards d'euros), est peut-être sur le point d'assister à un rare événement déclencheur (« trigger »). En effet, son plus grand émetteur semble en passe de manquer un objectif clé lié à la dette.