Nous ne conclurons donc pas du tout en affirmant qu'il est préférable de faire du high-yield que de l'investment-grade mais plutôt en suggérant que le risque est différent mais pas plus ou moins élevé sur l'un que sur l'autre pour la performance finale de l'investisseur...
Depuis le mois de mai, les taux longs américains ont repris le chemin de la hausse. Le taux à 10 ans est ainsi passé
de 3,4% début mai à 4,6% fin septembre, un nouveau plus haut depuis 2007. De manière intéressante, cette
progression des taux coïncide avec la hausse des prix du pétrole.
La demande pour le crédit privé – prêts non bancaires octroyés aux sociétés non cotées en Bourse – a explosé dans le contexte actuel de remontée des taux d'intérêt, de quête de rendement par les investisseurs et de retrait des banques des prêts aux entreprises. Nous examinons l'essor rapide de cette nouvelle classe d'actifs, les risques qui y sont associés et ce qu'elle offre aux investisseurs.
Jeremiah Buckley, gérant de portefeuille chez Janus Henderson examine l'attrait des actions américaines dans un contexte d'incertitude économique et géopolitique, caractérisé par des pressions inflationnistes persistantes.
Après un mois de juillet positif, les fonds à long terme domiciliés en Europe ont enregistré une décollecte nette de 6,6 milliards d'euros en août, reflétant le sentiment négatif des investisseurs dû à l'incertitude économique et au fait que l'inflation n'a pas baissé comme espéré.