Selon un nouveau rapport de CACEIS et PwC Luxembourg, les gestionnaires d'actifs doivent revoir leur offre de produits et les modèles de distribution
et les distributeurs doivent proposer de nouveaux modèles d'engagement...
Selon une étude réalisée par KPMG avec le soutien du WWF sur 12 grandes banques européennes, le secteur bancaire n'intègre pas suffisamment, dans ses activités commerciales et d'investissement, les risques qu'impliquent les facteurs environnementaux et sociaux tels que le changement climatique, la rareté de la ressource en eau, la production durable.
Des opérations importantes se poursuivent à un rythme soutenu, tiré par les secteurs de la pharmacie et de l'énergie. On observe une augmentation des grosses transactions voir des méga-transactions, plus complexes et donc plus lentes à finaliser. Le 3ème trimestre 2015 devrait donc demeurer particulièrement actif.
Paradoxe majeur : si deux tiers des investisseurs institutionnels estiment que les risques
extrêmes sont de plus en plus préoccupants, seuls 27 % d'entre eux ont mis en place des
stratégies de couverture contre ce type de risque et seuls 36 % estiment avoir accès à
des outils appropriés pour faire face à de tels événements.
Il est courant en finance d'utiliser les sensibilités des différents instruments (deltas des options, sensibilités des obligations…) pour évaluer l'impact de chocs sur les données de marché. Cette approche, même si elle reste très utile pour estimer les ordres de grandeur, peut être remise en question lorsqu'il s'agit de déterminer précisément l'impact de chocs extrêmes sur un instrument ou un portefeuille.