Les obligations pandémiques totalisent 320 millions de dollars. Comme pour les autres obligations dites « catastrophes », les investisseurs pourraient perdre leur capital si un ensemble de seuils paramétriques, tels que l'ampleur de la pandémie, son taux de croissance ou encore la propagation transfrontalière, sont franchis.
Euronext célébre l'introduction en bourse de NACON, acteur intégré de l'édition de jeux vidéo, sur le compartiment B de son marché règlementé à Paris (code mnémonique : NACON).
Le président de la Fed, Jerome Powell, avait déjà publié un communiqué vendredi pour prévenir que « bien que les fondamentaux de l'économie américaine restent solides, le coronavirus posait un risque pour l'activité ». Aujourd'hui, la Fed est passée à l'acte et a baissé sa fourchette de taux directeurs de 50 bps à 1,00/1,25%.
La Fed se trouve donc face à un risque important : ne rien faire aurait pu décevoir les marchés qui pricaient une baisse…mais l'ampleur de la baisse et son timing pourrait rappeler de mauvais souvenirs à ces mêmes marchés…
Les organisations internationales s'inquiètent de la hausse du nombre de cas à l'extérieur de la Chine et notamment en Corée du Sud, qui a augmenté l'état d'alerte au niveau maximum, avec plus de 760 cas et six décès, en Italie où le nombre de cas a dépassé les 150 et trois décès ont été reporté ou encore en Iran ou « seulement » 43 cas ont été recensés mais compte déjà huit décès.