Il a pour objectif de surperformer, sur un horizon d'investissement minimum de cinq ans, son indicateur de référence (60% MSCI Emerging markets et 40% JPM EMBI Global Diversified) tout en s'efforçant de maintenir une volatilité inférieure à celle de l'indice.
Les élections italiennes et l'absence de majorité claire au Sénat ont alimenté le retour de la volatilité et créé, comme attendu, des tensions sur les taux italiens et espagnols. Ces tensions sont néanmoins restées contenues, et ont constitué des opportunités d'achat pour les investisseurs (principalement domestiques).
Selon ING Investment Management (ING IM), les défis sans précédent auxquels le secteur des assurances est confronté impliquent que les assureurs doivent prendre des mesures d'envergure afin d'adapter leur stratégie d'investissement, ce qui offrira de vastes opportunités aux gestionnaires d'actifs.
D'après un sondage du gestionnaire de fonds BofA Merrill Lynch pour le mois de mars, les investisseurs sont de plus en plus confiants dans les perspectives du dollar et des actions américaines, sentiment qui vient contrebalancer les inquiétudes toujours plus vives quant à la situation économique de la Chine.
De plus en plus d'investisseurs allouent leurs actifs stratégiquement, en fonction des facteurs d'investissement sources de rendements. Mais le facteur momentum a manqué la fête, et de loin, en raison des défis qui y sont liés. Willem Jellema, gérant du fonds Robeco Momentum Equities, explique comment il est possible de saisir la prime du momentum tout en en éliminant les inconvénients.