Près de 80% des émissions de gaz à effet de serre se concentrent dans trois principaux secteurs, qui constituent en moyenne 20% des principaux indices actions. Se débarrasser du risque en éliminant ces 3 secteurs des portefeuilles serait peu satisfaisant pour un investisseur responsable...
Selon Etienne Vincent, responsable de la gestion quantitative globale chez THEAM, les stratégies à faible volatilité sont par nature défensives : lorsque le marché se replie, elles tendent à surperformer en moyenne. Ce caractère défensif s'exprime par le bêta, qui mesure la corrélation entre la stratégie d'investissement et son indice de référence. Une stratégie défensive a un bêta inférieur à un.
Le fonds Parvest Equity World Low Volatility qui investit dans des actions à faible volatilité, repose sur une approche propriétaire qui s'appuie sur les résultats des équipes de recherche de THEAM démontrant que l'anomalie de la volatilité se retrouve dans tous les secteurs, et pas seulement sur les secteurs défensifs.
Massivement souscrits alors qu'ils proposaient des taux positifs, les fonds monétaires continueront-ils de l'être avec des rendements négatifs ? Réponse de Raphaël Dupuy-Salle, Gérant monétaire d'Humanis gestion d'actifs.
Legg Mason, l'un des plus importants gérants d'actifs au monde, vient de publier la quatrième édition de son enquête mondiale sur les investissements, une enquête annuelle menée auprès d'un panel de 5 370 investisseurs fortunés (« High Net Worth Investors ») dans 19 pays de décembre 2015 à janvier 2016*.