Selon Talib Sheikh, la croissance économique américaine devrait se maintenir même si le resserrement quantitatif continue à peser sur les marchés émergents, que l'Europe est aux prises avec des problèmes structurels et que le Royaume-Uni est paralysé par le Brexit. « Dans ces conditions difficiles, être flexible et disposer d'alternatives sont essentiels pour gérer les risques », a-t-il ajouté.
Mi-septembre, les actions ont été soutenues par les espoirs de nouvelles négociations commerciales entre Washington et Pékin, même si ces espoirs ont été déçus, l'administration Trump s'apprêtant à mettre en place de nouvelles barrières douanières.
Selon Patrick Barbe, Gérant Senior chez Neuberger Berman, la fin de l'assouplissement quantitatif de la BCE ne devrait pas déstabiliser le marché obligataire européen. Explications...
Le mois de septembre 2018 a marqué les 10 ans de la crise financière de 2008. Une question est inévitablement revenue à l'esprit de tous les investisseurs : risque-t-on un nouveau krach boursier, et comment adapter sa stratégie de gestion dans le contexte actuel ?
Au cours des dernières semaines, l'Argentine et la Turquie ont été frappées par des crises similaires à la « crise financière asiatique » de 1997-1998. Leurs marchés actions ont plongé, leurs devises ont dégringolé et leurs banques centrales ont été obligées de relever très fortement leurs taux d'intérêt. Quelles sont les causes de ces crises et quel est leur risque de propagation à l'Asie ?