La BCE a achevé ces années post-crise avec de nouvelles prérogatives. Celles-ci continueront à évoluer, notamment car elle devra de plus en plus tenir compte des grands défis du XXIe siècle, que ce soit la lutte contre le changement climatique ou celle contre les inégalités...
La pondération des actions demeure neutre en raison de faibles perspectives de croissance. Légère surpondération des obligations d'État, du crédit et de la dette émergente. Surpondération du dollar américain due à une aversion accrue au risque...
Les mois se suivent et continuent d'offrir le même spectacle depuis maintenant cinq mois : des marchés qui vont et viennent entre l'espoir d'une reprise économique prochaine, qu'un accord commercial sino-américain opportun fait occasionnellement renaître, et le constat de l'impuissance grandissante des banques centrales face à un ralentissement économique général dont elles ont perdu le contrôle.
Tim Love, de GAM Investments, revient sur les performances réalisées depuis le début de l'année par ses investissements sur les marchés frontières au Vietnam, en Argentine, en Roumanie, au Pakistan et en Arabie Saoudite (VARPS). Il fait également le point sur les opportunités et les risques associés à ces économies.
L'« effet Matthieu » décrit en économie une dynamique d'avantages cumulatifs : les riches deviennent plus riches et les pauvres plus pauvres (ou les gros plus gros et les petits plus petits). Le nom provient de l'évangile selon Matthieu, 25-29, « Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. »