Selon Nikolay Markov, Senior Economist chez Pictet Asset Management, le marché d'actions devrait rester dans le vert, soutenu par une forte demande étrangère, par des taux d'intérêt faibles, par des rendements du dividende au sommet et par la mise en œuvre réussie des réformes des retraites de Poutine.
L'épidémie de coronavirus se fait moins virulente en Chine. On reparle donc d'économie. Dans beaucoup de branches et secteurs, le niveau de la production à la mi-février était le tiers ou la moitié du niveau normal. Combien de temps faudra-t-il pour retrouver celui-ci ? Plusieurs semaines assurément et on évoque ici où là une normalisation à-peu-près atteinte à la fin mars.
Plus de trois ans après avoir voté pour quitter l'Union européenne (UE), les électeurs britanniques ont octroyé en décembre 2019 la plus grande majorité accordée à un gouvernement conservateur depuis 1987, ce qui a permis d'éliminer les obstacles parlementaires qui auraient empêché le Royaume-Uni de quitter l'UE le 31 janvier 2020. Les incertitudes entourant le Brexit n'ont pas disparu pour autant.
Joachim Fels, Managing Director, Conseiller Économique International de Pimco et membre du comité d'investissement et Nicola Mai, Executive Vice President au bureau de Londres se montrent prudents et sélectifs dans le contexte actuel du marché.
Selon le dirigeant de Freeport, principal producteur de cuivre mondial, le
coronavirus est un « événement cygne noir ». Cela signifie que non
seulement l'expansion du virus était imprédictible mais aussi que ses
conséquences ne sont pas estimables.