A l'issue du FOMC, la Fed a prolongé ses décisions de politique monétaire. En particulier, elle maintient le rythme des achats mensuels, à savoir 80 mds US de Treasuries et 40 mds USD de MBS. En revanche, le diagnostic sur la balance des risques est légèrement plus favorable.
Parmi les facteurs causant ce durcissement des conditions d'octroi de crédit, à l'inverse des crises précédentes, le coût de financement des banques ne joue aucun rôle. Seules les inquiétudes économiques, générales sur la conjoncture et
spécifiques sur les entreprises, jouent.
A quelques heures de l'investiture de Joe Biden, qui prêtera serment ce mercredi, Gilles Moëc, Chef Economiste – AXA Investment Managers, analyse les défis politiques et économiques que le nouveau Président américain va devoir affronter au cours des prochains mois.
Le marché britannique est en disgrâce depuis un certain temps déjà. L'accord entre le Royaume-Uni et l'UE constitue une étape essentielle pour rendre le Royaume-Uni de nouveau "investissable", mais plusieurs autres facteurs - notamment la pandémie actuelle de Covid-19 - continueront de peser.
Sur les marchés actions, la préférence pour les titres cycliques, financiers ou les valeurs moyennes devrait s'accentuer. L'analyse de Vincent Guenzi, stratège de Cholet Dupont...