La toile de fond de l'économie des différents blocs est toujours positive. En dépit d'un ralentissement au troisième trimestre dû à une consommation affectée par une offre insuffisante au regard de la demande, la croissance américaine n'est pas menacée et devrait réaccélérer dans les prochains mois.
La Banque d'Angleterre (BoE) a été sous le feu des projecteurs ce jeudi 4 novembre – non en raison d'une décision de politique monétaire – mais plutôt à cause de son inaction. L'analyse de Seema Shah, Stratégiste en chef chez Principal Global Investors...
Les actions émergentes ont déçu cette année par rapport à leurs homologues du monde développé. Les marchés sont à la peine alors que les tours de vis réglementaires ont ébranlé la confiance en Chine. Mais les investisseurs ne doivent pas ignorer cette classe d'actifs et plutôt s'employer à récolter tout ce qu'elle a à offrir.
Alors que la saison de publication des résultats des entreprises du troisième trimestre a commencé et en dépit de la pression inattendue et très vigoureuse sur les coûts de production, avec notamment la flambée des prix de l'énergie, il est frappant de constater le peu d'avertissements, ce qui suggère une bonne résistance des marges des entreprises.
La perturbation des chaînes d'approvisionnement à travers le monde affecte l'ensemble des secteurs, de la production automobile à la disponibilité des boissons gazeuses. Bon nombre de commentateurs pensaient que les goulots d'étranglement s'atténueraient rapidement pour être dissous d'ici la fin de l'année 2021.