Le problème, qui n'en est d'ailleurs pas un, est que la hausse du dollar aurait un impact négatif sur la conjoncture US selon l'Administration Trump. La plupart des études macroéconomiques et économétriques nous disent pourtant que cet impact est en réalité faible. Les partisans de la dévaluation d'une monnaie ont toujours eu des arguments pauvres.
Witold Bahrke, Stratégiste chez Nordea Asset Management ne croit pas à « la fin » des obligations d'Etat en tant que classe d'actifs. Son scénario est celui d'une correction temporaire, mais sans renversement du cycle d'appréciation pluriannuel que nous connaissons...
La Fed a maintenu inchangé son taux directeur, mais ce communiqué rend la probabilité subjective d'un nouveau resserrement monétaire en mars proche de 100%.
Croissance économique solide, progression des bénéfices, banques centrales toujours accommodantes : l'horizon semble dégagé sur les marchés pour les mois à venir. Mais selon les experts de BFT IM, attention toutefois aux défis que devront relever les marchés au second semestre.
Le président des États-Unis, Donald Trump, a connu une première année mouvementée au pouvoir, celle-ci s'achevant par un « shutdown » éclair du gouvernement. Le coup d'envoi du programme de réforme en faveur des entreprises a été sifflé juste avant Noël avec l'adoption d'une grande réforme fiscale.