Les investisseurs accorderaient-ils autant d'importance à la thématique italienne si le roi du tweet avait encore frappé les esprits ces derniers jours ? Rien n'est moins sûr… Passées les craintes inflationnistes ou de guerre commerciale, les investisseurs choisissent donc désormais en apparence de réagir à un blocage politique qui se dessine pourtant depuis belle (très belle…) lurette.
Les analyses des marché de La Française prennent pleinement en compte l'incertitude significative sur la situation en Italie mais excluent aujourd'hui le risque systématique d'une sortie de la zone Euro. La Française considére qu'un certain nombre de mouvements de marchés a été exagéré et a pu libérer des opportunités de rebonds significatifs
Les concepteurs de l'euro ont cru que les paramètres sociaux et capitalistiques s'ajusteraient à une monnaie qui serait elle-même la moyenne pondérée des forces relatives des économies des États membres. Cela ne s'est évidemment pas passé ainsi, d'autant qu'une moyenne pondérée conduit, en termes monétaires, à favoriser les pays forts et à accabler les pays faibles.
En quoi l'impact des dernières sanctions prononcées par les Etats-Unis à l'encontre de la Russie devrait être moins lourd qu'en 2014 ? Réponse en quatre points.
Les tarifs douaniers et les mesures protectionnistes sont de nouveau à la mode. Ceci est principalement dû à l'actuelle administration américaine, qui envisage une série de nouvelles barrières pour limiter les importations étrangères.