Depuis 2000, les pays émergents ont enregistré des taux de croissance substantiellement supérieurs à ceux de leurs homologues « développés » : entre 2000 et 2009, le différentiel moyen de croissance atteignait en moyenne le chiffre élevé de 4,3 points de pourcentage par an.
Les obligations des Etats de la zone euro sont communément jugées comme n'étant pas particulièrement intéressantes comme classe d'actifs. Avec des rendements proches de zéro, voire négatifs, pourquoi intéresseraient-elles les investisseurs ? Pourtant, iI arrive que des titres avec un faible rendement puissent générer des gains intéressants...
Le problème avec les devises, c'est que les taux de change ne vous donnent que des valeurs relatives. Vous ne savez jamais si un mouvement est basé sur la valorisation d'une devise ou sur la dépréciation d'une autre. Prenez l'euro et le dollar. A l'heure actuelle, il y a ceux qui disent que c'est la devise européenne qui s'est renforcée...
À deux semaines des échéances électorales, il serait tentant de reléguer les élections allemandes au simple rang de “non-événement”. Il se peut en effet que l'indifférence des investisseurs à l'égard de cette échéance soit une réponse somme toute assez rationnelle à une campagne considérée comme particulièrement ennuyeuse, même au regard des standards de notre voisin germanique.
Les tensions dans la péninsule coréenne font une nouvelle fois les gros titres. Il est évident que la Corée du Sud est très proche de l'épicentre de la crise. Par conséquent, on aurait pu penser que la récente escalade aurait des répercussions importantes sur les indices boursiers du pays.