Comment se fait-il que les marchés financiers soient restés, à ce point, insensibles à l'échec des négociations post-électorales en Allemagne ? Aussi bien lundi dernier, après l'échec des pourparlers en vue de former un gouvernement, que tout au long de la semaine écoulée, les actions allemandes sont restées stables de manière générale.
Bien que la croissance économique annuelle de la Chine soit loin d'atteindre les taux de croissance atteints il y a dix ans, elle reste trois fois supérieure à ceux des grands pays industrialisés occidentaux. En général, une croissance économique forte permet de soutenir les marchés boursiers. Les ETF peuvent être un bon moyen de capter cette performance.
Peu de médias ont abordé récemment le sujet de la stabilité de la zone euro. Est-ce le signe que nous sommes dans une période de calme avant la tempête, ou bien cela signifie-t-il que la zone dotée de la monnaie unique a gagné en stabilité ?
Le marché boursier chinois a été une des surprises de 2017. Début mars, les actions des marchés développés, rapportées en euros, on atteint leur sommet avant de perdre du terrain, tandis que les actions des pays émergents, notamment chinoises, ont continué de progresser à un rythme régulier. Fin août, le MCSI China progressait de 41,69 %...
La question n'est plus de savoir si la courbe de Philips est restée pertinente mais pourquoi elle ne s'est plus vérifiée au cours des dernières années. L'analyse de Stefan Kreuzkamp, Directeur des Gestions de Deutsche Asset Management.