Les banques centrales maintiennent le cap, pour sortir les économies occidentales de la tourmente. Après Mario Draghi, qui il y a une semaine, réaffirmait le volontarisme de la BCE pour racheter des actifs obligataires souverains sur des maturités courtes, c'est désormais la Fed qui ouvre clairement la voie à la continuité de mesures monétaires non conventionnelles, ultra accommodantes.
La réaction initiale des marchés d'actions à la victoire d'Obama a été modérément positive. Les investisseurs, qui peuvent être fortement axés sur le court terme, semblent maintenant adopter une vue à un peu plus long terme...
Mettre en place des stress plus crédibles suppose la prise en compte la dimension systémique des crises de marché et d'y associer des réponses politiques et institutionnelles fortes qui permettront d'éviter tout phénomène de prophéties auto-réalisatrices.
On a souvent coutume de comparer les années 2007-2012 à la grande crise des années 1930. Les contextes sont pourtant radicalement différents
La zone euro a le même comportement aujourd'hui que pendant la grande dépression des années 1930 qui avait comme étalon monétaire l'or !