Commencée en 2008 avec l'effondrement de Lehman Brothers, la crise financière n'a visiblement pas fini de faire parler d'elle. Dans un ouvrage paru en 2011 aux Etats-Unis et récemment traduit en français aux Editions Jardins des Livres, le financier Satyajit Das nous propose une relecture de la crise à la lumière de l'histoire de Wall Street et de l'industrie financière dans son ensemble.
A très court terme, Matthieu Belondrade, Responsable des marchés actions émergents chez Natixis juge plus prudent d'adopter une position de légère sous-pondération sur la Russie dans ses allocations actions, avec une préférence pour les sociétés russes exportatrices bénéficiant de la faiblesse de la devise…
Pour les marchés et les économistes, il ne peut pas se produire de krach obligataire. Et pourtant le krach se produira parce-que les raisons extra-économiques pour lesquelles les investisseurs achetaient massivement des obligations d'état vont disparaître
Selon Christian Jimenez, Président de Diamant Bleu Gestion, les besoins de financement élevés des États européens leur imposent d'accroître leurs programmes d'emprunts. Démesurément pour certains d'entre eux, avec en retour une détérioration accentuée de leur niveau d'endettement pour les années à venir.
Selon Towers Watson, les investisseurs institutionnels devraient se concentrer sur les risques extrêmes qui peuvent détruire leurs portefeuilles tels que l'éclatement de l'euro, la contamination nucléaire ou encore les risques de pandémie et d'extrême longévité…