Le 9 juin dernier Morgan Stanley publiait une étude intéressante appelée « Rising Cost of Capital and Implications for Equities » qui analyse les implications de la hausse des taux et des spreads pour les marchés actions.
iM Global Partner annonce la décision d'UBS La Maison de Gestion de sélectionner son partenaire Dolan McEniry Capital Management pour la gestion d'un fonds de crédit américain à échéance décembre 2025.
Si nous devions résumer la semaine à un seul évènement, ce serait bien la réunion ‘ad hoc' de la BCE dont nous allons ici livrer les contours, conséquences et conclusions que nous en tirons. Il n'aura en effet fallu que quelques semaines, voire quelques jours de spéculation contre la dette italienne pour que la BCE panique et organise une réunion de crise exceptionnelle...
Depuis le début de l'année, le mouvement de hausse des taux impacte négativement la valeur des titres sur les
marchés obligataires. Naturellement, ce repli est plus prononcé pour les titres de maturité longue que pour les titres
de maturité courte (principe de la sensibilité des obligations).
Le sentiment d'aversion au risque a repris cette semaine et le catalyseur reste… la hausse des taux des obligations d'État ! La mécanique est la suivante : A mesure que les taux des obligations d'État augmentent, les investisseurs se tournent vers la préservation du capital, ce qui réduit l'exposition aux placements les plus touchés par la hausse des taux des obligations d'État.