Si le marché des actions britanniques était boudé au début de l'année 2020, il l'est encore plus actuellement. Jusqu'à l'arrivée des trois vaccins, qui a déclenché une vague d'exubérance sur les marchés en fin d'année, les actions britanniques avaient perdu environ 20%.
La Banque Lombard Odier & Cie SA, gestionnaire de fortune basé à Genève, étend sa plateforme de fonds d'architecture ouverte « PrivilEdge » grâce à un partenariat avec Liontrust Asset Management, l'une des principales sociétés de gestion spécialisées du Royaume-Uni.
Les perspectives du marché boursier britannique demeurent extrêmement incertaines à l'approche des élections générales de cette année. La plupart des investisseurs mondiaux continuent de considérer le Royaume-Uni comme un marché inexploitable, comme ils le font depuis le référendum européen de 2016.
« On va s'amuser ». Prophétiques les propos du Président Charles de Gaulle, opposé à l'entrée du Royaume-Uni au sein du Marché commun en 1963 ? Plus de 50 ans après, si les tribulations du Brexit amusent ou désabusent, elles empoisonnent assurément la vie des investisseurs depuis plus de 3 ans, les détournant des actions britanniques...
Certains indicateurs laissent à penser qu'un Londres post-Brexit pourrait perdre une partie du marché des services financiers au profit de ses concurrents de l'UE, tels que Paris et Francfort. Mais un nouveau rapport de la Cass Business School (City University of London) affirme le contraire...